L’intelligence artificielle (IA) est devenue une force mondiale, révolutionnant diverses industries et transformant notre façon de vivre, de travailler et d’apprendre. Mais qu’en est-il de son impact sur l’éducation en Afrique ? Les avantages potentiels valent-ils les inconvénients possibles ? Ces questions seront au centre d’un prochain débat qui promet d’être stimulant et instructif.
La motion de cette année, intitulée « Cette Assemblée estime que l’IA fera plus de mal que de bien à l’éducation en Afrique », examinera les implications de l’IA pour l’éducation en Afrique. Le débat portera sur l’importance de l’IA pour les étudiants, les enseignants, les écoles et les universités d’Afrique. Il vise à explorer les conséquences, tant positives que négatives, que l’IA pourrait avoir sur l’apprentissage en Afrique. Les avantages indéniables du transfert de compétences, de la création de contenu et de l’apprentissage personnalisé l’emporteront-ils sur les coûts potentiels en termes de vie privée, de sécurité et de liberté ?
Rencontrez les intervenants :
Soutenir la motion :
Francisca Oladipo :
Vice-chancelier de l’université Thomas Adewumi, professeur d’informatique et chef de file distingué dans la mise en œuvre de points de données FAIR exploitables par des machines. Forte d’une longue expérience dans le domaine de l’enseignement des STIM et des collaborations internationales, Mme Oladipo apporte une perspective unique au débat.
Mark West :
Travaillant dans le secteur de l’éducation de l’UNESCO, Mark West est un expert dans l’utilisation de la technologie pour améliorer l’apprentissage, en particulier dans les pays du Sud. Son expérience dans l’analyse de l’impact de la transformation numérique sur l’éducation pendant la pandémie de COVID-19 ainsi que son rapport 2019, I’d Blush, sont autant d’exemples de son expertise dans ce domaine.
2019, I’d Blush if I Could, qui a conduit Apple et d’autres entreprises technologiques à apporter des changements majeurs à la façon dont Siri et d’autres assistants d’intelligence artificielle projettent le genre, apporteront des informations précieuses.
Contre la motion :
L’honorable Michael Onyango :
Fondateur de Africa’s Forgotten Bottom Millions (4BM) et membre du Distributed Ledgers and Artificial Intelligence Taskforce du ministère kenyan des TIC, Michael Onyango a été ministre du gouvernement du comté chargé des TIC et se consacre à offrir des perspectives de carrière à la jeunesse africaine grâce à la technologie numérique. Son expertise en matière d’autonomisation économique et son expérience dans les secteurs gouvernementaux et des ONG constitueront un solide contre-argument.
Donald Clark :
Entrepreneur et PDG renommé dans le domaine des technologies de l’information et de la communication, Donald Clark possède plus de 30 ans d’expérience dans les domaines de l’apprentissage en ligne, de l’intelligence artificielle et de la réalité virtuelle. Son expertise en matière d’IA ajoute une perspective précieuse à la discussion.
Rejoignez-nous pour un débat intellectuellement stimulant sur l’impact de l’IA sur l’éducation en Afrique. Participez à la conversation lorsque des intervenants experts présenteront leurs arguments des deux côtés de la motion. C’est l’occasion d’acquérir des connaissances, de remettre en question des hypothèses et de contribuer à une meilleure compréhension des risques et des avantages potentiels de l’IA pour l’éducation en Afrique. Ne manquez pas cet événement passionnant qui façonnera l’avenir de l’éducation en Afrique.